NON : dans un jugement en date du 14 mars 2024, le Tribunal administratif d’Orléans a jugé qu’un tel motif, étranger à l’intérêt de la commune et au bon fonctionnement des services municipaux et qui se rattache au mouvement de grève national à l’encontre de la réforme des retraites, apparaît comme la revendication d’opinions politiques de la part des représentants élus de la collectivité.
Par suite, le préfet de Loir-et-Cher est fondé à soutenir que la décision attaquée méconnait le principe de neutralité auquel sont astreintes les personnes publiques.
Article juridique - Droit public