La responsabilité de l'établissement public de santé pour les pertes de revenus subies pendant la période par l'agent, a été ramenée au trois quart de ces pertes, du fait que l'intéressée n'avait pas effectué les démarches nécessaires auprès de son employeur pour faire valoir ses droits aux allocations chômage, malgré les invitations qui lui avaient été faites.