Dans un arrêt en date du 16 avril 2010, le Conseil d'Etat précise que la seule circonstance que l'intention matrimoniale d'un seul des deux époux ne soit pas contestée ne fait pas obstacle à ce qu'une fraude au mariage soit établie.
Dans un arrêt en date du 16 avril 2010, le Conseil d'Etat précise que la seule circonstance que l'intention matrimoniale d'un seul des deux époux ne soit pas contestée ne fait pas obstacle à ce qu'une fraude au mariage soit établie.