La démission d'un agent public ne peut résulter que d'une demande écrite de l'intéressé marquant sa volonté sans équivoque de cesser ses fonctions. Cependant, la réalité d'éventuelles pressions de la hiérarchie, susceptibles de vicier la démission, doit être établie par l'agent « démissionnaire » au moyen de pièces probantes (témoignages, lettres, courriels, etc.) versées au dossier.