Maître André ICARD
Avocat au Barreau du Val de Marne

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NON : la réponse du Ministère de la justice à la question écrite n° 13002 de Monsieur le Sénateur. Jean Louis Masson (Moselle - NI), publiée dans le JO Sénat du 14/05/2020 - page 2237 précise que la constitution d'une servitude de cour commune ne permet pas de s'affranchir des règles de distance édictées par le règlement du plan local d'urbanisme, mais de modifier l'assiette d'appréciation de...

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NON : dans un arrêt en date du 29 août 2019, la Cour administrative d’appel de Bordeaux a jugé que les auteurs du règlement d’un plan local d’urbanisme (PLU) aient compétence pour interdire par principe aux propriétaires de procéder à la division d’une ou de plusieurs propriétés foncières en vue de l’implantation de bâtiments, faculté qui participe de l’exercice de...


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NON : dans un arrêt en date du 5 mai 2017, le Conseil d’Etat considère que le moyen tiré de l'illégalité de la délibération prescrivant l'adoption ou la révision du plan local d'urbanisme (PLU) qui porte, d'une part, sur les objectifs, au moins dans leurs grandes lignes, poursuivis par la commune en projetant d'élaborer ou de réviser ce document d'urbanisme et, d'autre part, sur les modalités de la...


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OUI : un plan local d’urbanisme (PLU) fixant un rythme de réalisation de 15 nouveaux logements par an, respectant l'objectif de maîtrise de l'urbanisation fixé par le schéma de cohérence territoriale (SCOT) ( le SCOT prévoyait, dans le cadre d'un objectif de maîtrise de l'urbanisation, des seuils maximum de croissance démographique), mais conduisant au dépassement des seuils de croissance démographique...

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NON : dans un arrêt en date du 15 décembre 2015, le Conseil d’Etat considère que l'article L.123-12 du code de l'environnement n'impose pas que l'examen des conclusions défavorables du commissaire enquêteur fasse l'objet d'une réunion distincte de celle au cours de laquelle le conseil municipal approuve la modification du plan local d'urbanisme ni d'une délibération matériellement distincte de la...


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OUI : les règles d'urbanisme contenues dans les documents approuvés d'un lotissement deviennent caduques, en l'absence d'opposition d'une majorité qualifiée de colotis, au terme de dix années à compter de l'autorisation de lotir. Le maire peut, après enquête publique et délibération du conseil municipal, modifier tout ou partie des documents du lotissement, et notamment le règlement et le cahier des charges, pour les...

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